Emily Monaco
J'irai déposer des patates sur la tombe de Parmentier
Une manière de célébrer l'agronome inhumé au Père-Lachaise sans qui les frites et la purée n'auraient peut-être pas existé.
Décadent comme le festin d’un bourgeois parisien du XIXe siècle
Un repas qui peut compter jusqu’à 25 hors d’œuvres, 15 rôtis et 28 poissons différents. Tout ça arrosé de 8 bouteilles de vin. Par personne.
Ce que la cuisine française doit aux heures sombres de l'Histoire
Du siège de Paris à la Seconde Guerre mondiale : comment les périodes de vaches maigres ont influencé nos modes alimentaires.
« Tout c'que j'voulais, c'était faire mes courses tranquille »
Service, cuisson de la viande, connaissance des produits : une Américaine raconte ce qui différencie les Français de ses compatriotes dès qu'il est question d'alimentation.
Au comptoir avec William, barman d'un palace parisien depuis quarante piges
Au Meurice, derrière le zinc du Bar 228, William Oliveri sert artistes et têtes couronnées depuis 1978.
De Taillevent aux Halles : une histoire accélérée de la soupe à l'oignon
Les pérégrinations d’un plat emblématique aussi bien consommé par Louis XV que les ouvriers du plus grand marché de Paris.
Deux ans après les attentats, le Café du Bataclan rouvre ses portes
« Il y a des clients qui pleurent, d'autres qui se confient à nous et racontent leurs histoires, comme une sorte de thérapie. »
Grandeur et décadence du « jambon-beurre »
Éloge de simplicité devenu aujourd'hui emblème gastronomique : itinéraire du plus célèbre des sandwichs.
Quand les Américains découvrent le maroilles dans le café
On n’est pas totalement retors à l’idée de tremper des trucs dans le kawa mais on le fait plutôt avec des donuts que du fromage.
Le désamour galopant des Français pour la viande de cheval
Si la consommation de cette viande est bien ancrée dans la tradition, comment expliquer que les boucheries spécialisées ferment et que les hippophages se meurent ?
Désolé les Parisiens, mais vous n'avez toujours rien compris aux bagels
Depuis 10 ans, des restaurants de bagels aux noms américanisés fleurissent dans la capitale. Problème : ils n'ont rien à voir avec ceux qu'ils tentent d'imiter.