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.Au bout d'un certain temps, j'ai peu à peu réalisé qu'iln'était pas possible d'aider ces gens-là. C'est comme si leur statut de victime leur convenait. Les filles, par exemple, refusaient obstinément d'envisager une relation plus saine avec un mec plus sain. Je ne parle pas d'un mec clean qui n'aurait jamais consommé la moindre drogue ; je parle d'un mec pas trop orgueilleux, qui saurait reconnaître ses torts et faire en sorte de respecter sa copine en ne la faisant pas culpabiliser lorsqu'elle essaie de l'aider. Qui saurait avouer que son comportement est nuisible pour leur couple.Mais par peur d'être vu comme des « lâcheuses » – ce terme est revenu souvent – ou de se retrouver seules, elles préféraient vivre avec un toxico invivable qui, au moment où elles pètent finalement un câble, redevient gentil. Avant de recommencer à embobiner sa meuf dès qu'il a regagné sa confiance, encore et encore. C'est d'autant plus triste que cette situation semble banale, au vu du nombre de témoignages que j'ai lus de ce genre-là. Je l'ai donc signalé, via un nouveau post. Cette réflexion m'a valu un ban ponctuel de la part des modérateurs.À côté de ces sinistres tranches de vies, il y a le sexe. Sous drogues. Le truc récurrent, ce sont les homos qui pratiquent le slam. Cette coutume consiste à s'injecter des Nouveaux produits de synthèse (NPS) – 3-MMC, 4-MEC et autres dérivés de la méphédrone – en intraveineuse avant de baiser, le but étant d'utiliser ce produit stimulant et euphorisant afin de maximiser la désinhibition et tenir toute la nuit. Là je ne l'ai pas trop ramené ; les mecs sont tous consentants et ne cherchaient d'aucune façon à valoriser leur pratique. Mais dans un autre style, plus inquiétant, j'ai lu sur le forum divers témoignages de jeunes usagers de drogues contraints de se prostituer pour payer leur conso.À côté de ces sinistres tranches de vies, il y a le sexe. Sous drogues. Le truc récurrent, ce sont les homos qui pratiquent le « slam »
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